Bienvenue aux nouveaux membres de l’équipe ! Mai 2024

Publié le 25 juin 2024 par Ludivine Leite

En mai 2024, quatre nouvelles personnes ont intégré l’équipe de Picardie Nature.
Nous leur souhaitons la bienvenue !

Marielle DACHICOURT

Qui es tu ?
Je m’appelle Marielle Dachicourt et j’ai 20 ans

D’où viens-tu ?

Je viens de Rang Du Fliers dans le 62, si vous ne connaissez pas c’est à côté de Berck, là où il y a la rencontre internationale de cerf-volants pendant les vacances de Pâques !

Quel est ton parcours ?

Actuellement, je suis en troisième année de licence de Biologie à l’Université de Lille, option bilingue. J’attends mes résultats de master avec impatience ! Au cours de mon parcours j’ai pu effectuer diverses expériences de terrain en biologie marine et terrestre et j’ai aussi travaillé dans plusieurs postes saisonniers et bénévoles, notamment en tant que préparatrice de commandes, opératrice d’attractions, et stagiaire en centre de soins pour animaux sauvages.

Quel est ton lien avec l’environnement/la protection de l’environnement ?

De par mes études, j’ai eu l’occasion d’en apprendre plus sur l’environnement et sa protection. Participer à des chantiers natures mais aussi des petits inventaires de tritons… ont permis de renforcer mon engagement afin de protéger la biodiversité !

Connaissais-tu Picardie Nature avant d’arriver ?

Avant de postuler pour un stage à Picardie Nature je ne connaissais pas du tout cette association, mais je compte bien continuer de la suivre maintenant que je la connais !

Quelles sont tes missions à Picardie Nature et pour combien de temps ?

Durant mon stage qui va durer 2 mois, je vais tenter de réaliser une micro-étude sur l’efficacité des gîtes posés par l’association. Il s’agit en fait d’en analyser la fréquentation par les espèces (spécialement les Chiroptères) et l’évolution des conditions thermohygrométriques.

Qui du Lapin de Garenne, du Lièvre d’Europe et du Lapin de Pâques te semble le plus fiable ?

En tant que biologiste, je dirais que le Lièvre d’Europe et le Lapin de Garenne sont des espèces fiables à observer dans la nature en raison de leur comportement et de leur écologie bien étudiés.
Cependant en tant que grande gourmande, je dirai que le Lapin de Pâques est le plus fiable pour apporter de bonnes douceurs chocolatées !

Cloé GRAFF

Qui es tu ?
Je m’appelle Cloé Graff et j’ai 22 ans

D’où viens-tu ?
Je suis originaire d’un petit village à côté de Metz en Lorraine.

Quel est ton parcours ?

Après l’obtention de mon bac, j’ai choisi de m’inscrire en Licence de Sciences de la Vie à Strasbourg. Cette formation, très générale, m’a offert la possibilité d’explorer divers sujets et de découvrir ce qui m’intéressait réellement dans les sciences de la Vie. Au cours de ma première année de licence, j’ai rejoint l’association de protection des mammifères d’Alsace (GEPMA), ce qui m’a aidé à développer mes compétences naturalistes. J’ai également fait des stages dans un parc animalier en animatrice pédagogique et en aide à la recherche au CNRS sur la conservation du Hamster d’Europe. Finalement, en 2023, j’ai fait un service civique en Mayenne pour aider au suivi des populations de chauves-souris sur le territoire.

Quel est ton lien avec l’environnement/la protection de l’environnement ?

l’environnement m’ont profondément marquée. J’ai pris conscience de l’importance de chaque espèce dans l’écosystème, et l’importance des mesures de protection et de sensibilisation mises en place par l’association. Je suis passionnée de chauves-souris depuis quelques années maintenant grâce au GEPMA !

Connaissais-tu Picardie Nature avant d’arriver ?
Je connaissais l’association de nom !

Quelles sont tes missions à Picardie Nature et pour combien de temps ?

Je suis chargée d’études en Faune et bâtiments pendant 5 mois, en renforcement de l’équipe pendant la saison estivale. Je vais réaliser des accompagnements de chantiers ainsi que des médiations chauves-souris et nids d’oiseaux et bâtiments.

Qui entre la Pipistrelle commune et l’Oreillard gris a le plus de chance de monter sur le podium pour l’épreuve d’escalade sportive aux JO 2024 ?

Tout d’abord, l’oreillard, avec ses énormes oreilles, pourrait avoir un désavantage aérodynamique. Néanmoins, il pourrait capter toutes les fréquences FM des encouragements des spectateurs, ce qui pourrait être une motivation supplémentaire, bien que cela puisse aussi le distraire si une station de radio diffuse une émission particulièrement intéressante sur les insectes. L’oreillard pourrait également marquer des points pour son charisme.
La pipistrelle commune, quant à elle, est plus petite et plus agile, capable de manœuvres acrobatiques dignes des meilleurs grimpeurs professionnels.
En conclusion, la compétition sera serrée. Si les juges privilégient le style et l’originalité, l’oreillard pourrait bien rafler la médaille. Cependant, pour une performance technique et sans fioritures, la pipistrelle commune serait certainement la favorite. Quoi qu’il en soit, une chose est sûre : les deux concurrents seraient de redoutables athlètes.

Elisa RATAYZYK

Qui es tu ?
Je suis Elisa Ratayzyk, j’ai 22 ans !

D’où viens-tu ?
Je viens de Beauvais dans l’Oise.

Quel est ton parcours ?

Je suis actuellement en troisième année de licence de Sciences de la Vie et de la Terre (SVT), parcours écologie et biologie des populations. J’ai obtenu un bac S spécialité SVT au lycée.

Quel est ton lien avec l’environnement/la protection de l’environnement ?

Depuis toute petite j’aime beaucoup observer les êtres vivants qui m’entourent ! J’apprécie énormément l’ornithologie, j’ai fait quelques débuts dans la macrophotographie et l’identification en particulier chez la famille des salticidae. Pour moi chaque espèce a une valeur et une utilité et c’est pour ça qu’il faut conserver la biodiversité.

Connaissais-tu Picardie Nature avant d’arriver ?

Oui, je ne me souviens plus exactement ni comment ni quand j’ai connu l’association. J’ai des amis de la fac qui y sont bénévoles et en parlent beaucoup lors de nos échanges et cela faisait plusieurs années que j’avais envie de rejoindre l’association !

Quelles sont tes missions à Picardie Nature et pour combien de temps ?

J’ai pour mission principale d’aider dans le suivi et la protection des nichées de busards en Picardie jusqu’au mois d’octobre. J’accompagne un ou plusieurs membres de l’association dans un secteur et nous cherchons les busards à l’aide de jumelles et de longues-vues. Lorsqu’un individu est repéré nous identifions l’espèce et regardons son comportement. Est-ce qu’il chasse ? Est-ce qu’il se pose dans un nid ? Où va-t-il ? Est-ce qu’il interagit avec un autre individu (parade, passage de proie) ? Par la suite, lorsqu’un nid est localisé, il faut déterminer si des mesures de protection sont nécessaires pour la nichée.

Si les canards n’ont que deux pattes à casser, que les corneilles sont si fatiguées qu’elles bâillent sans cesse, et que les moineaux n’ont pas de cervelle, quelle serait l’expression qui viserait le busard cendré ?

J’inventerai l’expression “caché comme un busard cendré”. Car parfois nous sommes depuis plus de 30 minutes sur un point en train de chercher, puis au moment de partir nous remballons tout, nous montons dans la voiture et il arrive qu’un busard soit là, à 10-20 mètres de nous. C’est un peu comme cette sensation lorsque je retrouve un objet après des heures de recherche alors qu’il était dans ma main durant tout ce temps.

Louis HUE

Qui es tu ?
Je m’appelle Louis Hue et j’ai 28 ans.

D’où viens-tu ?
Je viens de Seine-Maritime, à proximité de Dieppe.

Quel est ton parcours ?

Après une Licence en Marketing et plusieurs années à travailler dans le Commerce, j’ai décidé de prendre un virage à 180 degrés pour découvrir la faune qui nous entoure, mais aussi toutes les pressions anthropiques pesant sur elle, en réalisant un bénévolat fort de 5 mois au centre de soins du CHENE. Souhaitant par la suite lier mes compétences professionnelles à mes convictions personnelles, j’ai eu l’opportunité de travailler au sein du service Biodiversité d’une collectivité. J’ai ensuite eu l’occasion de travailler chez Picardie nature pour la Surveillance Estivale des phoques et après cette expérience, comme Chargé de mission Chiroptères dans un bureau d’études. Évidemment, pendant tout ce chemin, je suis resté un bénévole actif du CHENE, mais aussi des autres associations naturalistes locales comme le GMN ou Picardie Nature.

Quel est ton lien avec l’environnement/la protection de l’environnement ?

Depuis mon plus jeune âge je suis intéressé par la nature et ce qui nous entoure. Je serais toujours très reconnaissant auprès de mes grands-parents qui, en regardant un reportage télé sur le CHENE, ont pensé que cela me plairait. Ils ne se sont pas trompés !

Connaissais-tu Picardie Nature avant d’arriver ?

J’ai connu Picardie Nature de nom lors de mon premier bénévolat au centre de soins, et ensuite lors de mon expérience professionnelle sur la Surveillance Estivale des phoques. J’ai par la suite effectué différents suivis en tant que bénévole sur les Chiroptères (suivis de maternité, hibernation, captures et radiotracking, médiation,...).

Quelles sont tes missions à Picardie Nature et pour combien de temps ?

Mes missions peuvent se résumer principalement en trois points :

  • Développer des partenariats avec des acteurs des Hauts-de-France (et plus particulièrement de Picardie) afin d’intégrer les chauves-souris dans différentes actions menées localement.
  • Sensibiliser sur la prise en compte des chiroptères dans différents domaines (ex : bâti, agriculture, forêt)
  • Participer à des études et des inventaires sur les chauves-souris (suivis de maternités, captures et radiotracking, …).

Globalement, je travaille avec l’ensemble des salarié(e)s et bénévoles qui agissent en faveur des chauves-souris ! Je suis actuellement en CDI.

Quels sont, pour toi, les avantages et désavantages de l’utilisation de la farine de pois chiche comme shampoing sec ?

Je suppose bien-évidemment que cette question me soit posée de part ma chevelure divine qui rend plus d’un quarantenaire jaloux au sein de Picardie Nature !
D’après Internet, et nous savons tous qu’Internet a TOUJOURS raison, c’est un “shampoing doux garantie anti-irritations”, les cheveux deviennent “plus volumineux et plus légers”.
Le principal désavantage est l’utilisation de ce dernier et la préparation à effectuer, il ne faut pas oublier que je suis, de temps à autre, un gros flemmard (ou plutôt, quelqu’un de très occupé)… donc à voir le temps que cela prend. Je propose une session “Shampoing sec” à réaliser une fois par semaine avec mes cher(e)s collègues !


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